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204 messaggi.
Vieux moniteur, inscrit à l'ESF Courchevel 1850, deux accidents, un sur chaque genou, arthrose depuis de nombreuses années et déformation congénitale des deux rotules, je désespérais de continuer la pratique de mon sport sans douleur. Et oh! miracle, j'ai rencontré Jean Marc à la Clusaz cet hiver. Essayer c'est l'adopter. une descente pour l'essai, une autre pour le réglage, et une troisième pour retrouver les sensations oubliées de tailler des courbes à vitesse soutenue. Fini les séances chez le médecin ostéo qui chaque année pratiquait des ponctions synoviales et des infiltrations de visco-supplémentations. Une saison sans douleurs.
FORMIDABLE. Merci encore à Jean Marc pour ton accueil tes conseils ta convivialité. je recommande à tous de l'essayer même préventivement pour les plus jeunes .
SKI-MOJO le matériel qu'il vous fo 😉 Olivier
FORMIDABLE. Merci encore à Jean Marc pour ton accueil tes conseils ta convivialité. je recommande à tous de l'essayer même préventivement pour les plus jeunes .
SKI-MOJO le matériel qu'il vous fo 😉 Olivier
J'ai adopté rapidement et sans trop de difficultés le ski-mojo grâce aux bons réglages de Jean-Christophe que je remercie. Suivant les réglages les sensations sont différentes et ils conditionnent en même temps notre façon de skier.
Très franchement, c'est efficace du point de vue antalgique. Les genoux sont nettement moins gonflés le soir, c'est tellement appréciable!
Cela reste une corvée à porter sous un pantalon.
Concernant les féminines, il faut prévoir un peu plus de temps pour les pauses toilettes.
Lorsque le support n'est pas ou plus enclenché sur la chaussure de ski, l’attelle glisse lorsque l'on doit marcher. J'avoue que c'est l'un point faible.
Sur neige dure, c'est super.
Dans les bosses, je ne retrouve pas ma réactivité habituelle et toute ma dextérité au niveau des changements d'appuis.
En hors piste, je préfère skier sans le ski- mojo, surtout en poudreuse.
En résumé, si je passe au dessus des contraintes qu' apporte le ski-mojo, c'est parce que je suis très heureuse de pouvoir continuer à skier sans douleur, je dirais même à skier tout simplement!
Très franchement, c'est efficace du point de vue antalgique. Les genoux sont nettement moins gonflés le soir, c'est tellement appréciable!
Cela reste une corvée à porter sous un pantalon.
Concernant les féminines, il faut prévoir un peu plus de temps pour les pauses toilettes.
Lorsque le support n'est pas ou plus enclenché sur la chaussure de ski, l’attelle glisse lorsque l'on doit marcher. J'avoue que c'est l'un point faible.
Sur neige dure, c'est super.
Dans les bosses, je ne retrouve pas ma réactivité habituelle et toute ma dextérité au niveau des changements d'appuis.
En hors piste, je préfère skier sans le ski- mojo, surtout en poudreuse.
En résumé, si je passe au dessus des contraintes qu' apporte le ski-mojo, c'est parce que je suis très heureuse de pouvoir continuer à skier sans douleur, je dirais même à skier tout simplement!
J'ai testé le ski-Mojo samedi dernier et j'ai été rapidement conquis
Des la première descente j'ai senti le bienfait et à la seconde descente l'adaptation était faite et le plaisir était au rendez vous ! Plus la matinée avançait et plus j'avais la banane.
Le ski-Mojo soutient les jambes. Dans les grandes courbes la sensation de pression dans les cuisses est fortement réduite et pourtant la force est sans aucun doute plus importante. Le résultat, j'ai pu descendre une piste sans être obligé de m'arrêter pour reposer mes jambes, pas de douleurs aux genoux et surtout la fatigue arrive moins vite, on garde un meilleure contrôle du ski.
Juste du plaisir....ce Ski-Mojo c'est du bonheur !!!
Et pour le plus La démonstration du matériel est réalisé avec beaucoup de sympathie, merci à Jean-Marc pour le temps consacré.
Des la première descente j'ai senti le bienfait et à la seconde descente l'adaptation était faite et le plaisir était au rendez vous ! Plus la matinée avançait et plus j'avais la banane.
Le ski-Mojo soutient les jambes. Dans les grandes courbes la sensation de pression dans les cuisses est fortement réduite et pourtant la force est sans aucun doute plus importante. Le résultat, j'ai pu descendre une piste sans être obligé de m'arrêter pour reposer mes jambes, pas de douleurs aux genoux et surtout la fatigue arrive moins vite, on garde un meilleure contrôle du ski.
Juste du plaisir....ce Ski-Mojo c'est du bonheur !!!
Et pour le plus La démonstration du matériel est réalisé avec beaucoup de sympathie, merci à Jean-Marc pour le temps consacré.
Bonjour,
Je n'ai plus de cartillage au genou droit (gonarthrose de phase 4) et quasi plus au gauche (phase 3). Voilà deux ans que je ne pratique plus que les vertes et bleues et 2h suffisent à ne plus pouvoir bouger, ou péniblement.
Faire 100m a pied m'est difficile, paradoxallement je "glisse" mieux que je ne marche. (la glisse sur glace ou neige est une seconde nature, je pratique le ski depuis 40 ans et la patinoire depuis 38 , c'est dire si glisser est plus facile pour moi que de marcher!)
Je devais partir fin mars avec les enfants aux Saisies pour qu'ils profitent de ce que je leurs ai appris ces dernières années.
Mais je craignais cette année plus qu'avant car la situation se dégrade naturellement. Avant de connaitre le ski-mojo je prenais mon forfait au jour le jour!
Je me suis aperçu que j'etais encore plus limite que les années précédentes, au grand dam des enfants qui entrevoyaient ne plus pouvoir skier avec moi. Après 2h de vertes et bleues j'etais à plat!
J'ai entendu parler du ski-mojo à mon arrivee a l'hôtel et puis par la monitrice ESF de ma fille. Après discussion avec une jeune monitrice ESF qui en possède un sans lesquel elle pourrait changer de métier, je me suis inscrit sur le site pour un essai. Le lendemain Philippe me contacte et vient me l'expliquer et me le faire essayer aux Saisies. Je suis très surpris au départ mais je me fais assez vite au système. Le cerveau corrige très vite ce qu'il faut que pour prendre possession du système. (Normal, que ne ferait-il pas pour eviter de subir la douleur, en fait c'est vite appréhendé dans ce sens là!).
J'ai été "ecolé" et suivi par mon tres sympathique Mojomaster qui se trouve sur ce domaine skiable (merci à lui). Il ne compte pas son temps pour vous le régler au mieux tout en vous instruisant sur les réglages fins que vous pourrez tester à votre aise plus tard (tres instructif).
je me suis permis de "jouer" un peu avec dans de la neige plus lourde en cette fin de saison, bien appréciable.
Bref, j'ai pu refaire des rouges et noires facilement!
(Sans cet appareil cela m'était totalement impossible)
De plus, après 5h00 de ski, je suis plus reposé et "frais" que si je n'y etais pas allé!
(Difficile à croire , mais c'est pourtant vrai, apres le ski je monte un escalier standart sur 2 pieds alors qu'avant je le monte sur 1 seul. L'articulation a fonctionné mais sans trop d'effort. Selon mon chirurgien, il est (dans mon cas) préférable de faire fonctionner l'articulation que de la laisser au repos !, cela s'explique donc bien)
Cet investissement me ré-ouvre un avenir que je croyais définitivement fermé. Les enfants sont soulagés. De plus comme je serai "prothésé" un jour, cela me permettra de pouvoir continuer à skier sans surcharger ma prothèse.
Evidement cela ne fait pas tout à votre place, mais l'aide apportée est suffisement appréciable que pour que le jeu en vaille la chandelle.
Merci aussi a Jean Marc de La Clusaz pour son suivit et son assistance.
Je ne manque pas d'en parler, ici, aux professionnels de la santé que je cotoie et qui se demandaient comment j'allais faire...
Le retour est donc plus que positif puisque sans lui cela aurait été la derniere fois que je skie et avec j'ai de nouvelles possibilités.
Vivement le test sur une bonne neige....je suis impatient d'y retourner...
(dommage qu'il n'existe pas le même type d'appareil pour la vie de tous les jours, car je suis quand même bien handicapé et demuni sans lui!)
Je n'ai plus de cartillage au genou droit (gonarthrose de phase 4) et quasi plus au gauche (phase 3). Voilà deux ans que je ne pratique plus que les vertes et bleues et 2h suffisent à ne plus pouvoir bouger, ou péniblement.
Faire 100m a pied m'est difficile, paradoxallement je "glisse" mieux que je ne marche. (la glisse sur glace ou neige est une seconde nature, je pratique le ski depuis 40 ans et la patinoire depuis 38 , c'est dire si glisser est plus facile pour moi que de marcher!)
Je devais partir fin mars avec les enfants aux Saisies pour qu'ils profitent de ce que je leurs ai appris ces dernières années.
Mais je craignais cette année plus qu'avant car la situation se dégrade naturellement. Avant de connaitre le ski-mojo je prenais mon forfait au jour le jour!
Je me suis aperçu que j'etais encore plus limite que les années précédentes, au grand dam des enfants qui entrevoyaient ne plus pouvoir skier avec moi. Après 2h de vertes et bleues j'etais à plat!
J'ai entendu parler du ski-mojo à mon arrivee a l'hôtel et puis par la monitrice ESF de ma fille. Après discussion avec une jeune monitrice ESF qui en possède un sans lesquel elle pourrait changer de métier, je me suis inscrit sur le site pour un essai. Le lendemain Philippe me contacte et vient me l'expliquer et me le faire essayer aux Saisies. Je suis très surpris au départ mais je me fais assez vite au système. Le cerveau corrige très vite ce qu'il faut que pour prendre possession du système. (Normal, que ne ferait-il pas pour eviter de subir la douleur, en fait c'est vite appréhendé dans ce sens là!).
J'ai été "ecolé" et suivi par mon tres sympathique Mojomaster qui se trouve sur ce domaine skiable (merci à lui). Il ne compte pas son temps pour vous le régler au mieux tout en vous instruisant sur les réglages fins que vous pourrez tester à votre aise plus tard (tres instructif).
je me suis permis de "jouer" un peu avec dans de la neige plus lourde en cette fin de saison, bien appréciable.
Bref, j'ai pu refaire des rouges et noires facilement!
(Sans cet appareil cela m'était totalement impossible)
De plus, après 5h00 de ski, je suis plus reposé et "frais" que si je n'y etais pas allé!
(Difficile à croire , mais c'est pourtant vrai, apres le ski je monte un escalier standart sur 2 pieds alors qu'avant je le monte sur 1 seul. L'articulation a fonctionné mais sans trop d'effort. Selon mon chirurgien, il est (dans mon cas) préférable de faire fonctionner l'articulation que de la laisser au repos !, cela s'explique donc bien)
Cet investissement me ré-ouvre un avenir que je croyais définitivement fermé. Les enfants sont soulagés. De plus comme je serai "prothésé" un jour, cela me permettra de pouvoir continuer à skier sans surcharger ma prothèse.
Evidement cela ne fait pas tout à votre place, mais l'aide apportée est suffisement appréciable que pour que le jeu en vaille la chandelle.
Merci aussi a Jean Marc de La Clusaz pour son suivit et son assistance.
Je ne manque pas d'en parler, ici, aux professionnels de la santé que je cotoie et qui se demandaient comment j'allais faire...
Le retour est donc plus que positif puisque sans lui cela aurait été la derniere fois que je skie et avec j'ai de nouvelles possibilités.
Vivement le test sur une bonne neige....je suis impatient d'y retourner...
(dommage qu'il n'existe pas le même type d'appareil pour la vie de tous les jours, car je suis quand même bien handicapé et demuni sans lui!)
Voici mes impressions sur le ski-mojo.
J’ai eu l‘occasion de l’utiliser une semaine au carnaval (temps exécrable) et dix jours en Suisse (condition parfaite).
Un seul mot: FABULEUX.
Au carnaval, avec les conditions très difficiles (tempête de vent, congères, visibilité médiocre) j’ai su skier alors que sans le ski-mojo j’aurais été incapable de tenir sur mes lattes. Ma jambe n’aurait jamais eu la force de faire les efforts nécessaires à cause de la neige et mon genou m’aurait fait beaucoup trop souffrir.
C’est clair que vu la météo pourrie je n’ai pas pris mon pied mais j’ai quand même skié tous les jours durant toute la journée.
En Suisse, par contre c’était le pied. Un plaisir que je n’avais plus connu depuis mes problèmes à la jambe et au genou droit.
Les personnes qui m’accompagnent chaque année me disaient à chaque fois: “déjà là?”
Je n’ai pas ressenti de fatigue et un tout petit peu de douleur. Ce qui entraine une mise en confiance suivi d’un max de plaisir.
La mise en place du ski-mojo est un petit peu laborieuse mais rien de vraiment contraignant.
Une fois placé, il ne dérange pas de trop.
J’ai quand même une petite crainte quant à l’usure des velcros.
Voilà, je ne dis pas vivement l’hiver prochain mais c’est clair que j’attendrai la prochaine glisse avec beaucoup d’impatience.
J’ai eu l‘occasion de l’utiliser une semaine au carnaval (temps exécrable) et dix jours en Suisse (condition parfaite).
Un seul mot: FABULEUX.
Au carnaval, avec les conditions très difficiles (tempête de vent, congères, visibilité médiocre) j’ai su skier alors que sans le ski-mojo j’aurais été incapable de tenir sur mes lattes. Ma jambe n’aurait jamais eu la force de faire les efforts nécessaires à cause de la neige et mon genou m’aurait fait beaucoup trop souffrir.
C’est clair que vu la météo pourrie je n’ai pas pris mon pied mais j’ai quand même skié tous les jours durant toute la journée.
En Suisse, par contre c’était le pied. Un plaisir que je n’avais plus connu depuis mes problèmes à la jambe et au genou droit.
Les personnes qui m’accompagnent chaque année me disaient à chaque fois: “déjà là?”
Je n’ai pas ressenti de fatigue et un tout petit peu de douleur. Ce qui entraine une mise en confiance suivi d’un max de plaisir.
La mise en place du ski-mojo est un petit peu laborieuse mais rien de vraiment contraignant.
Une fois placé, il ne dérange pas de trop.
J’ai quand même une petite crainte quant à l’usure des velcros.
Voilà, je ne dis pas vivement l’hiver prochain mais c’est clair que j’attendrai la prochaine glisse avec beaucoup d’impatience.
Fin décembre 2015, j'ai fait la chute classique avec ligament croisé antérieur droit rompu. Opération prévue le 04.03.2016-> vu mon activité professionnelle et mon âge 49 ans, je me suis dit que j'allais patienté. Ma fille étant mordue de ski, nous avions réservé une semaine au KARELLIS fin mars 2016. Je ne devais normalement pas skier mais grâce à Pierre (prof de ski) et Jean-Marc et son fameux exosquelette, j'ai pu retrouver, le temps d'une après-midi, les sensations que j'avais connues avant ma chute. Sans cette attelle, je n'aurai pas osé skier puisque mon kiné et mon ortho m'en avaient dissuadé. Bien entendu, il faut être prudent mais quel bonheur....
Ski Mojo acheté à Dimitri en Janvier. L’objectif était de skier cet hiver sans cartilage au genou gauche, la prothèse totale étant programmée pour fin Avril.
Résultat extraordinaire à la fois douleur et fatigue.
Je le reprendrai l'hiver prochain sans hésiter. Merci Dimitri
Résultat extraordinaire à la fois douleur et fatigue.
Je le reprendrai l'hiver prochain sans hésiter. Merci Dimitri
Essai du mojo à la Clusaz âgé de 51 printemps avec un genou explosé à 23 ans et un ligament croisé sectionné je pense avoir trouvé le moyen de skier un bon nombre d'années supplémentaires ! Merci Jean Marc Glaude
Lors d'une semaine de ski à Megève, en janvier dernier, Dimitri nous a fait essayer (groupe de 5 amis) le Ski-Mojo. Comme il avait fait mauvais tous les jours précédents et que ce jour-là, il faisait beau, je me suis senti à l'aise et ne savais pas si cela venait du temps ou du Ski-Mojo. Néanmoins, à la fin de la journée, je n'étais pas fatigué et j'ai acquis, comme 2 autres de mes camarades, ce matériel.
Je viens de passer 3 jours aux Angles, dans les Pyrénées-Orientales, où j'ai skié avec le Ski-Mojo. Je dois avouer qu'en fin de journée, je n'avais mal ni aux cuisses, ni aux genoux.
Je viens d'avoir 77 ans !
Je viens de passer 3 jours aux Angles, dans les Pyrénées-Orientales, où j'ai skié avec le Ski-Mojo. Je dois avouer qu'en fin de journée, je n'avais mal ni aux cuisses, ni aux genoux.
Je viens d'avoir 77 ans !
Eh voila, la saison se termine.
Un peu déçu par le manque de neige mais génial quand même car début janvier, ma femme m'offre l'occasion d'essayer ce fameux mojo que j'avais découvert l'année passée.
C'est donc aux Conta que je retrouve Dimitri pour une journée d'essai. En un mot bluffant !!!
Après 2 ou 3 descentes pour corriger la position (on a tendance a aller chercher l'assistance du mojo et donc d'être un peu en arrière au début), ce fut un réel bonheur. Je suis reparti avec à la fin de la journée.
Après une saison d'utilisation, le plaisir retrouvé car avec des genoux en très mauvais état, je ne pouvais skier que des demi-journées. Maintenant je peux enchainer les journées sur piste ou en poudreuse, j'ai même redécouvert le plaisir des sauts avec mon fils.
C'est clair que c'est un investissement, mais pour retrouver le plaisir de skier normalement ...
Encore merci à Dimitri pour les conseils, la journée passée ensemble et le SAV très efficace et réactif.
Un peu déçu par le manque de neige mais génial quand même car début janvier, ma femme m'offre l'occasion d'essayer ce fameux mojo que j'avais découvert l'année passée.
C'est donc aux Conta que je retrouve Dimitri pour une journée d'essai. En un mot bluffant !!!
Après 2 ou 3 descentes pour corriger la position (on a tendance a aller chercher l'assistance du mojo et donc d'être un peu en arrière au début), ce fut un réel bonheur. Je suis reparti avec à la fin de la journée.
Après une saison d'utilisation, le plaisir retrouvé car avec des genoux en très mauvais état, je ne pouvais skier que des demi-journées. Maintenant je peux enchainer les journées sur piste ou en poudreuse, j'ai même redécouvert le plaisir des sauts avec mon fils.
C'est clair que c'est un investissement, mais pour retrouver le plaisir de skier normalement ...
Encore merci à Dimitri pour les conseils, la journée passée ensemble et le SAV très efficace et réactif.