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Le Ski-Mojo ne fait pas tout mais il aide bien ( on peut faire une comparaison avec un vélo électrique par rapport à un vélo normal : il faut pédaler mais c'est plus facile !).
Je skie 2 à 4 fois par semaine de décembre à mai et quasiment tout le temps aux Grands montets à Chamonix donc principalement en hors piste. Prenant de l'âge j'ai acheté cet appareil afin de pouvoir continuer à enchainer en non stop des descentes de plus de 1000 m de dénivelé à vive allure. Je vous livre mes constatations après une saison d'usage.
En fonctionnement :
Le Ski-Mojo est effectivement plaisant sur piste ou en hors piste mais uniquement avec des skis qui ont un rocker arrière. Je m'explique :le ressort provoque une extension plus rapide de la jambe lors d'un allégement et donc l'arrière du ski a tendance à "accrocher" la neige avant la fin du virage, cela est un peu déséquilibrant dans des pentes raides de plus le toucher de neige est moins précis. Avec des skis à cambre inversé il n'y a par contre aucun problème quelque soit la neige ou la pente. Sur piste (ou hors piste facile) on skie plus à plat (sans allègement) et là c'est parfait !
Hors fonctionnement:
Tant que le Ski-Mojo est connecté aux chaussures de skis aucun problème mais lorsqu'on le déconnecte tout l'appareil à tendance à descendre et ce malgré les bretelles. Un short à la place de la sangle serait peut-être la solution ?
Bon ski avec ou sans Ski-Mojo !
Je skie 2 à 4 fois par semaine de décembre à mai et quasiment tout le temps aux Grands montets à Chamonix donc principalement en hors piste. Prenant de l'âge j'ai acheté cet appareil afin de pouvoir continuer à enchainer en non stop des descentes de plus de 1000 m de dénivelé à vive allure. Je vous livre mes constatations après une saison d'usage.
En fonctionnement :
Le Ski-Mojo est effectivement plaisant sur piste ou en hors piste mais uniquement avec des skis qui ont un rocker arrière. Je m'explique :le ressort provoque une extension plus rapide de la jambe lors d'un allégement et donc l'arrière du ski a tendance à "accrocher" la neige avant la fin du virage, cela est un peu déséquilibrant dans des pentes raides de plus le toucher de neige est moins précis. Avec des skis à cambre inversé il n'y a par contre aucun problème quelque soit la neige ou la pente. Sur piste (ou hors piste facile) on skie plus à plat (sans allègement) et là c'est parfait !
Hors fonctionnement:
Tant que le Ski-Mojo est connecté aux chaussures de skis aucun problème mais lorsqu'on le déconnecte tout l'appareil à tendance à descendre et ce malgré les bretelles. Un short à la place de la sangle serait peut-être la solution ?
Bon ski avec ou sans Ski-Mojo !
L'essayer c'est l'adopter !
J'ai pu doubler mon temps de ski chaque jour, sans douleurs aux jambes.
J'ai pu doubler mon temps de ski chaque jour, sans douleurs aux jambes.
Incroyable ski Mojo. Essayé chez Jules Melquiond Sports cet hiver, c'est une vraie surprise. Non seulement le Ski-Mojo est rassurant, moi qui souffre depuis la naissance de soucis de flexions au niveau des chevilles, mais c'est rassurant, plaquant l'avant des skis sur la neige. On fatigue vraiment moins et quand le harnais aura été amélioré (un short ou un pantalon pré-equipé), le produit sera génial. Bravo.
VOILA, à 66 ANS JE VIENS D'ACHEVER 8 JOURS DE SKI A VAL THORENS AVEC TRÈS PEU DE DOULEURS AUX GENOUX.
J'ai prolongé mon séjour de deux jours grace au Ski-Mojo, alors que je suis à la limite de la prothèse (c'est pour vous dire) au genou droit tellement l'arthrose est dense.
Merci au personnel et au responsable du magasin ZENITH de Val Thorens pour l'accueil.
J'ai prolongé mon séjour de deux jours grace au Ski-Mojo, alors que je suis à la limite de la prothèse (c'est pour vous dire) au genou droit tellement l'arthrose est dense.
Merci au personnel et au responsable du magasin ZENITH de Val Thorens pour l'accueil.
Bonjour,75 ans, 45 ans de courses à pied, dont Marathons à partir de 56 ans, je skiais avant ma retraite environ 2 semaines par an de l'ouverture à la fermeture des remontées et malgré mon entraînement physique, j'avais souvent les quadriceps en feu en fin de journée.
A partir de ma retraite il y a un peu de 10 ans, je suis passé à 4 à 5 semaines par an.
Depuis l'été 2016 où un excès de brasse à la piscine des Arcs m'a achevé un ménisque probablement bien usé, je galère avec un genou qui bricole et m'a empêché depuis cette date, de profiter de la course et du ski.
En janvier de cette année, rando en Patagonie avec beaucoup de souffrance et d'anti-inflammatoires.
Je débarque aux Arcs mi-mars sans préparation physique et avec des conditions de neige pas faciles, dont pistes matinales très dures.
Dès le premier jour, une nièce, encore plus cassée que moi, me fait la démonstration de son ski-mojo. Le lendemain je fais un test de 2 jours et dans la foulée j'achetais le mien...
Immédiatement j'ai compris que sur la neige dure je gagnais tout : peu de douleurs de genou, plus de quadriceps qui brûlent !!!
Et ensuite j'ai compris que sur tous types de neige c'était gagnant.
Et le plus impressionnant c'est que mon genou va beaucoup mieux que lorsque je suis arrivé il y a 2 semaines.
A partir de ma retraite il y a un peu de 10 ans, je suis passé à 4 à 5 semaines par an.
Depuis l'été 2016 où un excès de brasse à la piscine des Arcs m'a achevé un ménisque probablement bien usé, je galère avec un genou qui bricole et m'a empêché depuis cette date, de profiter de la course et du ski.
En janvier de cette année, rando en Patagonie avec beaucoup de souffrance et d'anti-inflammatoires.
Je débarque aux Arcs mi-mars sans préparation physique et avec des conditions de neige pas faciles, dont pistes matinales très dures.
Dès le premier jour, une nièce, encore plus cassée que moi, me fait la démonstration de son ski-mojo. Le lendemain je fais un test de 2 jours et dans la foulée j'achetais le mien...
Immédiatement j'ai compris que sur la neige dure je gagnais tout : peu de douleurs de genou, plus de quadriceps qui brûlent !!!
Et ensuite j'ai compris que sur tous types de neige c'était gagnant.
Et le plus impressionnant c'est que mon genou va beaucoup mieux que lorsque je suis arrivé il y a 2 semaines.
J'ai testé lors du derby de la Meije 2018. J'ai 61 ans et j'ai des problèmes de ménisque et d'arthrose au genou droit (l'autre a déjà subit une opération de réduction des ménisques et des ligaments croisés en 1992). Depuis deux ans ma pratique du ski se limitait à 3 heures pour finir en boitant. Donc j'ai essayé ce Week-end à la Grave (magasin Snowlegend à recommander). Sur la course, j'ai pas trop vu de différence lorsque, comme moi on a plus la "caisse", mais sur le retour de l'arrivée jusqu'au village, dans les bosses, et malgré une fatigue liée à mon âge, je n'ai pas eu ni "déboîtement" du genou et surtout aucune douleur. Une expérience à poursuivre, sauf quand on a pas l'habitude, il faut prévoir une bonne demi-heure de préparation.
58 ans, des genoux usés par des années de pratique sportives diverses (arthrose), le ski était devenu pour moi synonyme de souffrance.
Papa d’encore de jeunes enfants, j’avais du mal à envisager de renoncer aux plaisirs du ski.
Après 2 années de tergiversations, mon séjour à Avoriaz m’a donné l’occasion d’enfin tester le mojo.
Une véritable révélation bluffante, je suis à nouveau capable de skier toute la journée en famille sans douleur.
Seul bémol, mes enfants m’ont rebaptisé Papy Mojo ( en référence au célèbre sketch de feu Coluche )
Merci à Ski-Mojo et à Max pour son charmant accueil.
Papa d’encore de jeunes enfants, j’avais du mal à envisager de renoncer aux plaisirs du ski.
Après 2 années de tergiversations, mon séjour à Avoriaz m’a donné l’occasion d’enfin tester le mojo.
Une véritable révélation bluffante, je suis à nouveau capable de skier toute la journée en famille sans douleur.
Seul bémol, mes enfants m’ont rebaptisé Papy Mojo ( en référence au célèbre sketch de feu Coluche )
Merci à Ski-Mojo et à Max pour son charmant accueil.
Depuis que j'ai acheté un Ski-Mojo je skie à nouveau des journées complètes (malgré une arthrose du genou douloureuse). En mars l'an dernier, je ne pouvais skier que par 1/2 journée (et encore, en serrant les dents et avec du flector sur le genou). En avril, j'ai testé à Tignes le Ski-Mojo (article lu dans SKIEUR MAG) et je l'ai tout de suite adopté ! Depuis (en mai l'an dernier et fin mars cette année) je skie à nouveau de 9h à 17h et j'en suis ravie ! C'est vraiment incroyable ! Merci
Âgé de 53 ans , en surpoids , 1m72 pour 97 kg , l'acide lactique dans mes cuisses me gâchait mes journées de ski. J'ai acheté un Ski-Mojo d'occasion, je viens de le tester durant trois jours, sur Isola 2000.
Quel bonheur de retrouver le plaisir de la glisse, 15 minutes seulement pour s'habituer, et les gestes sont plus surs, la prise de carre franche et fluide, la fatigue retardée, la souffrance oubliée.
Les réglages ont été facilement réalisés grâce aux nombreux tutos disponibles sur le site.
Un point très important est la position des connecteurs . Mal positionnés, les skis divergent, mais une fois ajustés, c'est impeccable. Il faut vraiment prendre le temps nécessaire à ce réglage.
J'ai apprécié également le réglage possible en hauteur du scratch 'fémoral'. Je l'ai rapproché du genou , plaquant ainsi mieux l'articulation du Mojo contre ma jambe.
Les mousquetons du baudrier ne sont pas très pratiques , j'investirait dans le nouveau système.
N’hésitez plu , vous êtes en manque de forme, l'âge se fait sentir, le surpoids est là , mais l'amour du ski est toujours présent...
Alors retardez l'achat d'une nouvelle paire de planches, gardez encore une saison votre vieille tenue, économisez un ou deux restaurants....
Investissez dans un Mojo , c'est bien plus raisonnable...
Réveillez en vous le champion qui sommeille...
..Marc..
Quel bonheur de retrouver le plaisir de la glisse, 15 minutes seulement pour s'habituer, et les gestes sont plus surs, la prise de carre franche et fluide, la fatigue retardée, la souffrance oubliée.
Les réglages ont été facilement réalisés grâce aux nombreux tutos disponibles sur le site.
Un point très important est la position des connecteurs . Mal positionnés, les skis divergent, mais une fois ajustés, c'est impeccable. Il faut vraiment prendre le temps nécessaire à ce réglage.
J'ai apprécié également le réglage possible en hauteur du scratch 'fémoral'. Je l'ai rapproché du genou , plaquant ainsi mieux l'articulation du Mojo contre ma jambe.
Les mousquetons du baudrier ne sont pas très pratiques , j'investirait dans le nouveau système.
N’hésitez plu , vous êtes en manque de forme, l'âge se fait sentir, le surpoids est là , mais l'amour du ski est toujours présent...
Alors retardez l'achat d'une nouvelle paire de planches, gardez encore une saison votre vieille tenue, économisez un ou deux restaurants....
Investissez dans un Mojo , c'est bien plus raisonnable...
Réveillez en vous le champion qui sommeille...
..Marc..
Effectivement géniale cette invention. A 69 ans je vais prolonger ma "carrière" de skieur. MAIS lors d'une chute avec perte des skis, une jambe s'est tendue tellement violemment que le muscle du mollet s'est déchiré. Un accident qu'il ne faut pas généraliser mais c'est quand même arrivé. Sans le poids du ski , le ressort est évidemment beaucoup plus violent. Après l'avoir loué, je l'achète néanmoins. Avant la fatigue des jambes m'arrêtaient souvent, maintenant c'est mon souffle ...... à entretenir donc, mais quel plaisir !