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205 Einträge
En un mot GÉNIAL !!
En plusieurs: quel plaisir de pouvoir skier sans douleur au genou et sans brûlures aux cuisses.
Essayé et adopté en moins de 10 minutes.
Je vote également pour le short car le baudrier a tendance à glisser même sous le pantalon et malgré le "porte-jarretelles "
Cordialement
Eric
En plusieurs: quel plaisir de pouvoir skier sans douleur au genou et sans brûlures aux cuisses.
Essayé et adopté en moins de 10 minutes.
Je vote également pour le short car le baudrier a tendance à glisser même sous le pantalon et malgré le "porte-jarretelles "
Cordialement
Eric
Incroyable...Je pensais avoir fini ma "carrière" de ski et ça je ne voulais pas.je viens de finir une super semaine de ski....375 km avec application. et aucune douleur...seule une douleur celle de s arrêter à cause de la nuit. Tout ça grâce à ski mojo car plus de ligaments aux 2 genoux depuis 20 ans et 120 kg à faire charger...
Un très heureux ( renouveau ) skieur
Un très heureux ( renouveau ) skieur
A 67 ans les douleurs aux genoux m'avaient rendu la pratique du ski trop difficile. Après test puis acquisition de Ski-Mojo j'ai pu retrouver un grand plaisir à skier plusieurs journées complètes avec seulement un court arrêt pique-nique. La dernière journée de la semaine a été excellente jusqu'à la fin de la dernière descente. Il y a longtemps que j'avais ressenti un tel plaisir. Quelques petites douleurs encore mais très supportables.
Je confirme la tendance de l'appareil à descendre. L'idée du short semble judicieuse. A voir.
J'ai fait part de cette expérience à quelques amis aux genoux usés ainsi qu'à mon kiné.
J'attends avec impatience l'hiver prochain.
Je confirme la tendance de l'appareil à descendre. L'idée du short semble judicieuse. A voir.
J'ai fait part de cette expérience à quelques amis aux genoux usés ainsi qu'à mon kiné.
J'attends avec impatience l'hiver prochain.
Le Ski-Mojo ne fait pas tout mais il aide bien ( on peut faire une comparaison avec un vélo électrique par rapport à un vélo normal : il faut pédaler mais c'est plus facile !).
Je skie 2 à 4 fois par semaine de décembre à mai et quasiment tout le temps aux Grands montets à Chamonix donc principalement en hors piste. Prenant de l'âge j'ai acheté cet appareil afin de pouvoir continuer à enchainer en non stop des descentes de plus de 1000 m de dénivelé à vive allure. Je vous livre mes constatations après une saison d'usage.
En fonctionnement :
Le Ski-Mojo est effectivement plaisant sur piste ou en hors piste mais uniquement avec des skis qui ont un rocker arrière. Je m'explique :le ressort provoque une extension plus rapide de la jambe lors d'un allégement et donc l'arrière du ski a tendance à "accrocher" la neige avant la fin du virage, cela est un peu déséquilibrant dans des pentes raides de plus le toucher de neige est moins précis. Avec des skis à cambre inversé il n'y a par contre aucun problème quelque soit la neige ou la pente. Sur piste (ou hors piste facile) on skie plus à plat (sans allègement) et là c'est parfait !
Hors fonctionnement:
Tant que le Ski-Mojo est connecté aux chaussures de skis aucun problème mais lorsqu'on le déconnecte tout l'appareil à tendance à descendre et ce malgré les bretelles. Un short à la place de la sangle serait peut-être la solution ?
Bon ski avec ou sans Ski-Mojo !
Je skie 2 à 4 fois par semaine de décembre à mai et quasiment tout le temps aux Grands montets à Chamonix donc principalement en hors piste. Prenant de l'âge j'ai acheté cet appareil afin de pouvoir continuer à enchainer en non stop des descentes de plus de 1000 m de dénivelé à vive allure. Je vous livre mes constatations après une saison d'usage.
En fonctionnement :
Le Ski-Mojo est effectivement plaisant sur piste ou en hors piste mais uniquement avec des skis qui ont un rocker arrière. Je m'explique :le ressort provoque une extension plus rapide de la jambe lors d'un allégement et donc l'arrière du ski a tendance à "accrocher" la neige avant la fin du virage, cela est un peu déséquilibrant dans des pentes raides de plus le toucher de neige est moins précis. Avec des skis à cambre inversé il n'y a par contre aucun problème quelque soit la neige ou la pente. Sur piste (ou hors piste facile) on skie plus à plat (sans allègement) et là c'est parfait !
Hors fonctionnement:
Tant que le Ski-Mojo est connecté aux chaussures de skis aucun problème mais lorsqu'on le déconnecte tout l'appareil à tendance à descendre et ce malgré les bretelles. Un short à la place de la sangle serait peut-être la solution ?
Bon ski avec ou sans Ski-Mojo !
L'essayer c'est l'adopter !
J'ai pu doubler mon temps de ski chaque jour, sans douleurs aux jambes.
J'ai pu doubler mon temps de ski chaque jour, sans douleurs aux jambes.
Incroyable ski Mojo. Essayé chez Jules Melquiond Sports cet hiver, c'est une vraie surprise. Non seulement le Ski-Mojo est rassurant, moi qui souffre depuis la naissance de soucis de flexions au niveau des chevilles, mais c'est rassurant, plaquant l'avant des skis sur la neige. On fatigue vraiment moins et quand le harnais aura été amélioré (un short ou un pantalon pré-equipé), le produit sera génial. Bravo.
VOILA, à 66 ANS JE VIENS D'ACHEVER 8 JOURS DE SKI A VAL THORENS AVEC TRÈS PEU DE DOULEURS AUX GENOUX.
J'ai prolongé mon séjour de deux jours grace au Ski-Mojo, alors que je suis à la limite de la prothèse (c'est pour vous dire) au genou droit tellement l'arthrose est dense.
Merci au personnel et au responsable du magasin ZENITH de Val Thorens pour l'accueil.
J'ai prolongé mon séjour de deux jours grace au Ski-Mojo, alors que je suis à la limite de la prothèse (c'est pour vous dire) au genou droit tellement l'arthrose est dense.
Merci au personnel et au responsable du magasin ZENITH de Val Thorens pour l'accueil.
Bonjour,75 ans, 45 ans de courses à pied, dont Marathons à partir de 56 ans, je skiais avant ma retraite environ 2 semaines par an de l'ouverture à la fermeture des remontées et malgré mon entraînement physique, j'avais souvent les quadriceps en feu en fin de journée.
A partir de ma retraite il y a un peu de 10 ans, je suis passé à 4 à 5 semaines par an.
Depuis l'été 2016 où un excès de brasse à la piscine des Arcs m'a achevé un ménisque probablement bien usé, je galère avec un genou qui bricole et m'a empêché depuis cette date, de profiter de la course et du ski.
En janvier de cette année, rando en Patagonie avec beaucoup de souffrance et d'anti-inflammatoires.
Je débarque aux Arcs mi-mars sans préparation physique et avec des conditions de neige pas faciles, dont pistes matinales très dures.
Dès le premier jour, une nièce, encore plus cassée que moi, me fait la démonstration de son ski-mojo. Le lendemain je fais un test de 2 jours et dans la foulée j'achetais le mien...
Immédiatement j'ai compris que sur la neige dure je gagnais tout : peu de douleurs de genou, plus de quadriceps qui brûlent !!!
Et ensuite j'ai compris que sur tous types de neige c'était gagnant.
Et le plus impressionnant c'est que mon genou va beaucoup mieux que lorsque je suis arrivé il y a 2 semaines.
A partir de ma retraite il y a un peu de 10 ans, je suis passé à 4 à 5 semaines par an.
Depuis l'été 2016 où un excès de brasse à la piscine des Arcs m'a achevé un ménisque probablement bien usé, je galère avec un genou qui bricole et m'a empêché depuis cette date, de profiter de la course et du ski.
En janvier de cette année, rando en Patagonie avec beaucoup de souffrance et d'anti-inflammatoires.
Je débarque aux Arcs mi-mars sans préparation physique et avec des conditions de neige pas faciles, dont pistes matinales très dures.
Dès le premier jour, une nièce, encore plus cassée que moi, me fait la démonstration de son ski-mojo. Le lendemain je fais un test de 2 jours et dans la foulée j'achetais le mien...
Immédiatement j'ai compris que sur la neige dure je gagnais tout : peu de douleurs de genou, plus de quadriceps qui brûlent !!!
Et ensuite j'ai compris que sur tous types de neige c'était gagnant.
Et le plus impressionnant c'est que mon genou va beaucoup mieux que lorsque je suis arrivé il y a 2 semaines.
J'ai testé lors du derby de la Meije 2018. J'ai 61 ans et j'ai des problèmes de ménisque et d'arthrose au genou droit (l'autre a déjà subit une opération de réduction des ménisques et des ligaments croisés en 1992). Depuis deux ans ma pratique du ski se limitait à 3 heures pour finir en boitant. Donc j'ai essayé ce Week-end à la Grave (magasin Snowlegend à recommander). Sur la course, j'ai pas trop vu de différence lorsque, comme moi on a plus la "caisse", mais sur le retour de l'arrivée jusqu'au village, dans les bosses, et malgré une fatigue liée à mon âge, je n'ai pas eu ni "déboîtement" du genou et surtout aucune douleur. Une expérience à poursuivre, sauf quand on a pas l'habitude, il faut prévoir une bonne demi-heure de préparation.
58 ans, des genoux usés par des années de pratique sportives diverses (arthrose), le ski était devenu pour moi synonyme de souffrance.
Papa d’encore de jeunes enfants, j’avais du mal à envisager de renoncer aux plaisirs du ski.
Après 2 années de tergiversations, mon séjour à Avoriaz m’a donné l’occasion d’enfin tester le mojo.
Une véritable révélation bluffante, je suis à nouveau capable de skier toute la journée en famille sans douleur.
Seul bémol, mes enfants m’ont rebaptisé Papy Mojo ( en référence au célèbre sketch de feu Coluche )
Merci à Ski-Mojo et à Max pour son charmant accueil.
Papa d’encore de jeunes enfants, j’avais du mal à envisager de renoncer aux plaisirs du ski.
Après 2 années de tergiversations, mon séjour à Avoriaz m’a donné l’occasion d’enfin tester le mojo.
Une véritable révélation bluffante, je suis à nouveau capable de skier toute la journée en famille sans douleur.
Seul bémol, mes enfants m’ont rebaptisé Papy Mojo ( en référence au célèbre sketch de feu Coluche )
Merci à Ski-Mojo et à Max pour son charmant accueil.