Une enquête réalisée en 2024 auprès de 2 583 utilisateurs du Ski~Mojo montre que :

• 99% des utilisateurs considèrent que le Ski~Mojo soulage et préserve les genoux ;
• 98% des utilisateurs considèrent que le Ski~Mojo soulage les cuisses ;
• 40% des utilisateurs considèrent que le Ski~Mojo soulage les hanches et/ou le dos ; 
• 97% des utilisateurs du Ski~Mojo sont satisfaits ou très satisfaits de leur Ski~Mojo ;
• Enfin, pour 96 % des utilisateurs, le Ski~Mojo a répondu ou dépassé leurs attentes en termes d’efficacité et de facilité à utiliser

“Si vous aviez des douleurs aux genoux, diriez vous que, grâce au Ski~Mojo, celles-ci ont” :

Protection des articulations des membres inférieurs

DES DOULEURS DU GENOUX RÉDUITES VOIRE ÉRADIQUÉES : la pression verticale sur l’articulation des genoux et des hanches est réduite de manière telle qu’il permet à la quasi-totalité (98 %) des personnes atteintes d’arthrose au stade IV de continuer ou reprendre la pratique du ski avec des douleurs fortement atténuées ou éradiquées. Tous les témoignages d’utilisateurs atteints de gonarthrose vont dans ce sens. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, les résultats sont similaires pour d’autres pathologies du genou : ménisques, LCA, … 

UNE APPARITION D’ACIDE LACTIQUE RETARDÉE : le transfert de charge sur la chaussure rigide de ski ou de snowboard diminue la montée de l’acide lactique dans les quadriceps permettant à tous les utilisateurs de prolonger le temps d’exercice, de se concentrer sur la technique et d’améliorer la sécurité en réduisant le risque d’erreurs dues à la fatigue. En contrôlant mieux vos trajectoires, votre ski devient aussi bien plus confortable pour vos membres inférieurs.

Et pour vous ?

Rien ne vaut un essai du Ski~Mojo pour s’assurer de son efficacité pour votre propre cas. Une fois bien réglé, celui-ci se fait vite oublier. Seules différences : vous skiez avec beaucoup plus d’intensité et, si vous aviez des douleurs musculaires ou articulaires, celles-ci disparaissent ou sont fortement diminuées. Ainsi, et même si le Ski~Mojo n’est pas un dispositif médical (comme le vélo à Assistance Electrique d’ailleurs), les utilisateurs du Ski~Mojo atteint des pathologies suivantes sont soulagés dans leur pratique du ski :

• Gonarthrose (y compris stade IV) ;
• Problèmes articulaires : (cartilage, ménisques, ligaments, tendons, rotules) ;
• Syndromes fémoro-patellaires ;
• Entorse du genou ;
• Osgood Schlatter ;
• Lombalgies ;
• Faiblesses musculaires ;
• Courbatures ;
• etc …

Le Ski~Mojo permet aussi de skier plus longtemps avant la pose d’une prothèse, et, lorsque celle-ci est déjà installée, le Ski~Mojo devrait pouvoir prolonger sa durée de vie.

Notez que le Ski~Mojo ne vous fera pas skier plus vite. En revanche, en faisant moins de pauses et en étant plus précis sur vos skis, vous pourrez profiter pleinement de vos journées en maximisant votre temps de ski, avec un plaisir plus intense. Votre technique devrait également s’améliorer grâce à l’effet du système sur votre placement (bassin plus en avant et appui plus central) et une fatigue retardée par l’effet des ressorts qui font office de “quadriceps supplémentaires”.

Quelles différences avec une genouillère, une attelle ou une orthèse de genou ?

Ski~Mojo et orthèses de genoux (ou genouillères, attelles , …) sont deux solutions différentes et souvent complémentaires. L’un ne peut complètement remplacer l’autre.

• Une orthèse de genou est un dispositif médical conçu pour soutenir, stabiliser ou protéger le genou suite à une blessure ou après une intervention chirurgicale. Elles permettent un maintien du genou dans l’axe en particulier pour éviter les mouvements latéraux ou non naturels (ce que le Ski~Mojo ne fait pas).
• Le Ski~Mojo est un mécanisme de décharge qui permet d’alléger d’un tiers le poids ressenti par les jambes (et donc les genoux) et d’absorber chocs et vibrations qui remontent du sol en raison des irrégularités du relief (ce que l’orthèse ne fait pas). Le Ski~Mojo permet donc de réduire immédiatement les douleurs ressenties et notamment le mal de genou. Mais le Ski~Mojo laisse lui toute liberté de mouvement à son utilisateur (ce qui est d’ailleurs très apprécié des utilisateurs).

A noter qu’il est tout à fait possible d’utiliser ces deux dispositifs simultanément (si nécessaire). L’orthèse (même si celle-ci est imposante) vient alors se placer par dessous le Ski~Mojo.

L’avis des professionnels de santé

« Très rapidement, dès que l’on a apprivoisé le Ski~Mojo, on sent un soutien au niveau de la chaîne musculaire antérieure. Le quadriceps force moins. Les genoux sont moins en contrainte et on a l’impression de peser 20 kg de moins. Sur les syndromes fémoro-patellaires et les problèmes rotuliens, ce dispositif a un grand intérêt. Idem sans doute sur les arthroses un peu plus avancées. J’y vois aussi un intérêt en phase de convalescence notamment après la pose d’une prothèse du genou où cet appareil peut être utile pour aider à  récupérer du quadriceps et de la tonicité musculaire mais aussi pour réduire l’usure de la prothèse et limiter les risques de descellement ».

Dr. Patrice MANOPOULOS
Chirurgien Orthopédiste – Gap

« Dans le cadre d’une étude menée dans notre laboratoire de biomécanique, nous avons découvert que le Ski~Mojo permet aux quadriceps de fonctionner à 70 % de leur activité de référence tout en sollicitant davantage les ischiojambiers. Or ces muscles, trop souvent négligés dans la préparation physique des skieurs, contribuent pourtant à la prévention des entorses des genoux. Ce dispositif permet également d’augmenter la durée de l’exercice et donc de muscler de manière plus douce et progressive les jambes des utilisateurs. Nous sommes ici face à une véritable révolution en matière de sécurité des membres inférieurs dans la pratique du ski ».

Eric DE GUNSCH
Kinésithérapeute Chargé de cours Biomécanique – Bruxelles

« Après une journée d’essai, je l’ai adopté pour mon usage personnel. Mes douleurs habituelles dues à l’arthrose, favorisées par un léger surpoids, ont disparu malgré une journée de ski plus intense et plus longue que d’habitude. C’est un énorme progrès technique ».

Janusz STELMASZYK-Chirurgien Orthopédiste

« Ce n’est pas un gadget. Ça soulage réellement les quadriceps et les genoux sans que l’on s’en rende compte. Et on apprécie de pouvoir l’activer ou le désactiver à sa guise, même si son apport incroyable nous incite à l’utiliser à chaque descente ».

Pierre-Emmanuel DALCIN – 2 podiums dont une victoire en Coupe du Monde