Le Ski~Mojo vu par les femmes
Alexandra, Monitrice ESF à Val d’Isère
Alexandra est monitrice à Val d’Isère. Elle souffrait des genoux depuis plusieurs années mais étant trop jeune, elle n’était pas éligible à la pose de prothèse de genou. Ce n’est pas sans appréhension qu’elle a fin par tester le Ski~Mojo. Et visiblement, c’était une très bonne surprise !
Marie-Pierre Gatel, kinésithérapeute et descendeuse de l’équipe de France a essayé et adopté le Ski~Mojo
Marie-Pierre refait une piste faite quelques jours plus tôt, mais cette fois avec le Ski~Mojo. Et visiblement, ce n’est plus la même chose. “Je peux enfin remettre des appuis comme avant !”.
Patricia (kinésithérapeute) nous explique pourquoi elle s’est converti au Ski~Mojo
Au départ un peu jalouse de son mari qui était déjà équipé, Patricia s’est converti au Ski~Mojo car il apporte plus de sécurité mais surtout plus de plaisir pour vraiment profiter de sa semaine de ski. Et grâce au Ski~Mojo, Patricia va pouvoir continuer à skier avec ses enfants !
Marie-Claude pensait devoir arrêter le ski …
En raison de fortes douleurs aux genoux, Marie-Claude était sur le point d’arrêter le ski. Après avoir essayé le Ski-Mojo, elle a changé d’avis !
Quand de jeunes skieuses découvrent le Ski~Mojo, voici ce qu’elles en disent :
Ophélie et Andrea découvrent le Ski~Mojo à Saas Fee. Très grosse surprise pour ces deux jeunes femmes. Bien que ne soufrant d’aucun problème physique, elles constatent que le Ski~Mojo les aide à mieux skier et à prendre encore plus de plaisir. AMAZING !
Chemmy Alcott
Avec 4 participations aux Jeux Olympiques d’hiver, Chemmy Alcott est la skieuse la plus titrée de Grande-Bretagne. Elle est également une grande adepte du Ski~Mojo.
Elle nous a raconté comment le Ski~Mojo l’a aidé sur la voie de la guérison après de graves blessures au genou :
“J’ai subi une grave déchirure du ligament croisé antérieur (LCA) suivie d’une opération qui n’a pas résolu tous mes soucis, ce qui avait un impact significatif sur mon nouveau rôle d’entraineur. J’avais donc besoin de trouver une solution et notamment quelque chose pour soulager mes genoux, surtout afin de pouvoir éviter les analgésiques ou des anti-inflammatoires. Exigeante, je voulais également que cette solution puisse m’aider à aller sur le terrain et à être plus performante, et plus longtemps. Facile à utiliser, le Ski Mojo a vraiment coché toutes les cases“.
“Au final, le Ski~Mojo m’a permis d’être encore plus performante ! Il m’aide à entrer en courbe en poussant activement ma hanche vers le haut et vers l’avant dans la transition. C’est aussi un excellent outil pour l’entraînement et l’enseignement.”
“Mais le Ski~Mojo convient également à tous les niveaux de ski. Ma belle-mère a utilisé le Ski Mojo pour skier au cours des dix dernières années après que de nombreux médecins lui aient dit que sa vie de skieuse était terminée. Elle voulait leur prouver qu’ils avaient tort, et c’est pour cette raison qu’elle a investi dans le Ski~Mojo“.
Heidi Zurbriggen, Monitrice dans la vallée de Saas Fee
Heidi est une skieuse suisse, double médaillée d’argent aux Championnats du Monde de ski alpin et victorieuse de trois descentes en Coupe du Monde.
Après avoir mis fin à sa carrière professionnelle, Heidi s’est tournée vers l’enseignement mais, comme de nombreux anciens athlètes de haut niveau, ses genoux la faisait souffrir à longueur de journée. Grâce au Ski~Mojo, Heidi peut maintenant enchainer les journées de ski sans douleur en sans contrainte.
Ingrid, 5’45’’ de ski ininterrompu, 195 virages. Sans Ski~Mojo, une telle descente n’aurait pas été possible.
Le Ski~Mojo ne fait pas skier plus vite. Par contre il permet de skier beaucoup plus longtemps. Et comme la fatigue arrive plus tard, Ingrid garde un contrôle optimal de ses trajectoires, du début jusqu’à la fin.
Et qui pourrait deviner qu’un Ski~Mojo est caché sous le pantalon d’Ingrid ?
Jai testé le Ski~Mojo !
Par Mélanie Marullaz – 17 février 2019
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EXO DE PHYSIQUE !
ENONCÉ DE POSITIONNEMENT
Ainsi rencardée, je pars le tester en conditions réelles à Avoriaz, avec Jean-Marc Glaude, le Mojo-master. Il commence par fixer des supports temporaires sur mes chaussures de ski – le jour où j’aurai mon exo-squelette à moi, il les vissera définitivement -. Je me glisse ensuite dans ce qui ressemble à un baudrier, attaché à hauteur de bassin. Entre les deux, Jean-Marc installe sur le côté de chaque jambe le fameux squelette – le modèle pour les moins de 75kg, il en existe un autre pour les plus costauds – , qui consiste en deux tubes recouverts de néoprène articulés autour d’un gros ressort. C’est un mécanisme dit «de décharge», une fois enclenché, il doit me soulager d’1/3 de mon poids, absorber les chocs et limiter, le cas échéant, les douleurs dans le dos, les hanches et les genoux. Je le porte sur mon fuseau, mais il pourrait tout aussi bien se glisser sous un pantalon. Encore quelques réglages en fonction de ma taille et c’est parti !
CAS PRATIQUE
J’ai tout de suite envie de mettre le poids du corps en arrière, pour mieux ressentir les effets de l’équipement. A moins de vouloir laisser mes spatules vivre leur vie, c’est une mauvaise idée, évidemment. Mais une fois replacée correctement, difficile, dans les premières courbes, d’en évaluer les bienfaits. Jusqu’au milieu de la 3ème descente, quand, une fois bien habituée à ma carapace, le Mojo-master me demande de dés-enclencher le système. Chacune de mes jambes semblent alors peser 10 tonnes et mes fesses le double ! Fini l’impression de légèreté, retour à la gravité. C’est encore plus flagrant en fin de test : en toute petite forme d’automne pour cette remise en route, après 6 pistes à plein régime, mes jambes étaient à peine fatiguées. Mais, sur le chemin du retour, délestée de l’exo, je dois m’arrêter tous les trois virages pour ré-oxygéner mes cuisses, qui brûlent littéralement de l’intérieur. La langue pendante et les joues cramoisies, là, c’est sûr, je n’ai plus rien de sexy… Je veux retrouver mon mojo !